LE THÉOGLYPHE ANNONCIATEUR ou le Christ régnant sur la France ( Livraison I )

  je dois ce texte « annonciateur »- dont ce blog poursuivra la publication en plusieurs livraisons- à Alain Guillon , Secrétaire Général adjoint de la Charte de Fontevrault .

     Vous pourrez au fur et à mesure de votre lecture admirer la prévenance de la Providence à notre égard

LE THÉOGLYPHE ANNONCIATEUR

TRANSCRIPTION DE L’UNE DES CONFÉRENCES DE Michel Christian Soulier

DÉLIVRÉES À PARIS POUR LES LECTEURS DE LA REVUE D’ARCHÉOLOGIE ATLANTIS

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LE

THÉOGLYPHE ANNONCIATEUR

UNE DÉCOUVERTE ARCHÉOLOGIQUE

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EST SCIENTIFIQUE CE QUI EST : OBSERVABLE, MESURABLE ET REPRODUCTIBLE

MARGUERITE-MARIE ALACOQUE

Est une religieuse du XVII ème siècle, elle est à l’origine de l’importante dévotion au Sacré-Cœur de Jésus. Elle fut placée à trois reprises en contact avec le Christ, en 1673, 1674 et 1675. Jésus a, lors de ces trois visites, présenté à cette jeune femme, dans une holographie fort luminescente son Cœur mortellement blessé et lui a tenu des propos en relation avec cette présentation rayonnante.

La jeune visitandine, dans ses écrits effectués par elle sur le propos avec application, rapporte un mot fréquemment prononcé par le Christ lors de ces visites, celui de dessein. Tous les livres, ayant reçu l’imprimatur, relatant les trois divines Visitations qui eurent lieu à Paray-le-Monial ont, sans exception, interprété ce mot, celui de dessein, prononcé par Jésus et écrit ainsi par la religieuse comme ayant pour sens : une envie, une intention ou un souhait.

Pourquoi ces nombreux ouvrages négligent-ils qu’à cette époque, au XVII ème siècle, ce vocable avait une signification infiniment plus usuelle que le sens par eux donné, celle qu’a le mot dessin, tel que nous l’employons et l’écrivons de nos jours ?

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Le mot dessin n’est apparu dans le vocabulaire français qu’à la fin du XVIII ème siècle.

        Voici un court texte épistolaire datant de 1689, écrit par cette religieuse à l’une de ses anciennes supérieures, il relate de manière fort concise les volontés divines qu’elle a parfaitement intégrées, et dont elle fut miraculeusement chargée de révéler :

       « Le Père éternel, voulant réparer les amertumes et les angoisses que l’adorable Cœur de son divin Fils a ressenties dans la maison des Princes de la terre, parmi les humiliations et les outrages de sa Passion, veut établir son empire dans la Cour de notre grand Monarque, duquel Il veut se servir pour l’exécution de ce dessein qu’Il désire s’accomplir en cette manière, qui est de faire faire un édifice où serait le tableau de ce Divin Cœur pour y recevoir la consécration et les hommages ».

          La maison des Princes de la terre est l’Europe. Louis XIV en est le grand Monarque, sa cour est la France, Versailles à cette date n’était alors qu’un chantier. L’édifice voulu sera ultérieurement celui de la basilique du Sacré-Cœur, au sommet de la butte Montmartre, à Paris.

L’exécution de ce dessein qu’Il désire en cette manière s’accomplir : Un désir divin ne peut être ni un souhait, ni une éventualité, l’incertitude ici ne

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peut être de mise, ou bien alors Dieu n’est pas Dieu, car Dieu par définition est omniscient.

L’exécution de ce dessein n’est donc pas une éventualité, mais bien une annonce, celle de l’exécution d’un tracé.

Le mot dessein écrit par la religieuse dans le contexte ne signifie aucunement une possibilité, ou encore une éventualité, le mot dessein a pour sens celui employé par les gens à son époque signifiant une représentation graphique, un tracé : un dessin.

Un édifice où serait le tableau de ce divin Cœur. « Tableau » à nouveau un mot qui est une incontestable référence à l’univers du dessin.

M.M Alacoque a écrit dans une correspondance au Père Jean Croiset https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Croiset , ceci : Jésus m’a dit : « Je viens t’apprendre combien il te conviendra de souffrir pour mon amour et l’exécution de mes desseins ».

        Dans une autre lettre, toujours en parlant du Christ, elle écrit : Mais il ne veut pas s’en arrêter là, il a encore de plus grands desseins qui ne peuvent être exécutés que par sa toute puissance, qui peut tout ce qu’elle veut. Comme si seul Jésus-Christ était en capacité de les exécuter, de les réaliser de les tracer.

               Le mot dessein dans le contexte signifie dessin.

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FAC-SIMILÉ

Ci-dessus la page introductive d’un ouvrage datant de 1764 où le mot dessein signifiant dessin est parfaitement visible. Document incontestable ne laissant aucun doute sur la signification au XVIII ème siècle, donc forcément au précédent, celui de

Marguerite-Marie Alacoque, du mot dessein. 5

         Marguerite-Marie Alacoque, 1647-1690, présente le dessin, par elle très fidèlement reproduit, de ce que Jésus-Christ lui a montré lors de la première des ses trois grandes apparitions faites à Paray-le- Monial.

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https://docplayer.fr/44342592-Le-theoglyphe-un-dessin-a-dessein-description-et-decryptage.html

Et encore :

http://9efeae529e3b1b0d59fecf6a34bd55bd.wizart.co.il/by-michel-christian-soulier-le-christ-sur-la-france-geometrie-sacree.pdf

Mises en ligne à suivre les prochains jours.

A propos Charte de Fontevrault

Né à Loudun (Anjou) le 17 décembre 1945, dans une fratrie de trois garçons dont j'étais le cadet, et royaliste depuis mon entrée à la Faculté de Droit et des Sciences économiques de Limoges, ce qui est d'ailleurs assez tardif, j'ai découvert ma voie dans le royalisme providentialisme, c'est-à-dire le royalisme de de ceux qui s'en remettent à Dieu du point de savoir qui doit être Son Lieutenant en terre de France. La Charte de Fontevrault assure ce combat quotidien dans lequel elle est loin d'être seule, grâce à Dieu. http://www.sylmpedia.fr/index.php/Charte_de_Fontevrault http://www.sylmpedia.fr/index.php/Alain_Texier http://www.sylmpedia.fr/index.php/Providentialisme
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