Adam Weishaupt – Illuminés de Bavière…Encore et Toujours ?

Texte aimablement communiqué par Martel , * Délégué de la Charte à la rédaction de billets d’humeur  et d’actualité

Un jeune homme de vingt-huit ans fonde le 1er mai 1776 l’Ordre des Illuminati, que les historiens appellent les Illuminés de Bavière, dans l’atmosphère des Lumières dont les facettes occultes brouillent les pistes.

Adam Weishaupt (1748-1830) exerce alors en qualité de professeur de droit canon à l’université d’Ingolstadt. Personnalité à la fois exaltée et froide, précurseur de ces figures technocratiques et irrationnelles des régimes totalitaires, persuadé que son destin va changer la face du monde, il adopte dès 1770 une doctrine radicalement opposée à celle des autres Illuministes comme Martinès de Pasqually, Saint-Martin, Swedenborg, Cagliostro et Mesmer.

Il veut détruire l’auctoritas et le potestas sous toutes leurs formes, tant les souverains que les églises. A ses yeux, seul un gouvernement mondial peut, après une série de cataclysmes, amener l’humanité toute entière à la félicité. Il faut pour cela précipiter dans le chaos les deux grandes puissances européennes que sont l’Angleterre et la France en usant de quatre moyens :

– Corrompre les proches des puissants pour les manipuler.

– S’introduire dans l’enseignement universitaire et chez les précepteurs des princes pour modeler les esprits de ceux qui détiennent le pouvoir.

– Sélectionner les plus habiles pour exalter leur sentiment de suprématie sur l’humanité ordinaire, puis les admettre dans l’Ordre.

– S’emparer des gazettes pour contrôler l’opinion.

Favorable aux menées révolutionnaires, dont il pressent le potentiel en France, Weishaupt contacte plusieurs membres du futur comité de salut public, dont Robespierre.

Lorsque Weishaupt meurt en 1830, il a pris soin de transcrire ses directives pour l’avenir, préparant les Illuminati à changer de vocables, mais jamais de méthode de noyautage.


EN CONCLUSION

 

En France, l’illuminati Macron est passé par Rothschild pour recevoir des éléments de programmation mentale susceptible de correspondre à l’attente inconsciente de ce que les merdias soumettent au peuple. Il faut savoir que dans les  boîtes Rothschild, comme chez la fondation Rockefeller entre autres, on apprend à mentir au peuple sans tressaillir et à incorporer des éléments de langage qui vont plaire au peuple, le rassurer voir l’exalter. C’est bien retranscrit dans le testament de Satan issu des protocoles des sages de Sion qui sont bien évidemment authentiques. 

Source : « L’influence du franquisme sabbatéen sur le monde« 

par Thomas Muller

https://michelduchaine.com/2018/09/10/lorigine-reelle-des-illuminati-identifiee/

A propos Charte de Fontevrault

Né à Loudun (Anjou) le 17 décembre 1945, dans une fratrie de trois garçons dont j'étais le cadet, et royaliste depuis mon entrée à la Faculté de Droit et des Sciences économiques de Limoges, ce qui est d'ailleurs assez tardif, j'ai découvert ma voie dans le royalisme providentialisme, c'est-à-dire le royalisme de de ceux qui s'en remettent à Dieu du point de savoir qui doit être Son Lieutenant en terre de France. La Charte de Fontevrault assure ce combat quotidien dans lequel elle est loin d'être seule, grâce à Dieu. http://www.sylmpedia.fr/index.php/Charte_de_Fontevrault http://www.sylmpedia.fr/index.php/Alain_Texier http://www.sylmpedia.fr/index.php/Providentialisme
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4 commentaires pour Adam Weishaupt – Illuminés de Bavière…Encore et Toujours ?

  1. Irène Pincemaille dit :

    Oui ! et, à ce sujet, je me replonge actuellement dans les livres de l’abbé Barruel sur le Jacobinisme (« Rivarol » l’évoque dans le dernier n°).
    Quant aux « Protocoles », il a été dit qu’ils avaient été élaborés par l »Okrana » (= police du Tzar) vers 1901 ; or, qu’y voit-on ? l’exposé exact en tous points de la situation actuelle !!! curieux tout de même ! Cette police prévoyant ce qui se passerait 100 ans plus tard et ne prévoyant nullement ce qui allait arriver en Russie 16 ans plus tard !!! peu crédible, on en conviendra !!!
    Quant à Rotschild, Pompidou aussi en était ! alors …!!!
    Amitiés à tous.

    • Jean DEWEER dit :

      Je n’ose pas y croire, est-ce de la présidence Pompidou qu’est parti le coup contre moi? Et pourtant, en 1971-72, c’était bien lui qui était au pouvoir. Obéissait-il à un plan des illuminati: pas de retour au pouvoir d’un Bourbon! En tout cas, dès 1969, Eric Muraise qui soutenait la thèse d’un descendant de Louis XVII au pouvoir, publiait chez Julliard: « Saint Rémy de Provence et les secrets de Nostradamus », tout était déjà là, il suffisait de s’en inspirer. C’est aussi vrai que mon ancêtre Adèle avait pour demi-frère Karel Lodjewick (Charles Louis) ce qui pouvait indiquer que le Dauphin n’était pas loin et que Barras, en négociation avec les Bourbon lança en Belgique, en l’an VII (1799) juste avant le 18 brumaire, le coup d’état de Bonaparte, une vaste opération de police intitulée « Troubles en Belgique en l’an VII » aux Archives Nationales à Paris. Pour quelle raison? Pour retrouver le Dauphin qui lui avait échappé lors le l’affaire Petit du Petit Val, à Vitry en avril 1796, susceptible d’avoir été transporté en Belgique par le banquier qui était connu pour se déplacer en Belgique selon Tort de la Sonde? En tout cas, au nombre des personnes interrogées, figuraient des Verbrugghen qui était le nom du demi-frère Charles-Louis. Barras qui n’était pas sans appartenir à la franc-maçonnerie, des archives secrètes pouvaient exister de ce côté…

  2. Louis-Hubert REMY dit :

    UN DES PLUS GRANDS MIRACLES DE LA MISÉRICORDE DIVINE
    LA CONVERSION DE WEISHAUPT

    … En France, on appliquait par le meurtre et le pillage les doctrines antichrétiennes de l’Illuminisme allemand, adopté à Wilhemlsbad, dans le grand Convent de 1781, où étaient réunis les députés de toutes les loges du monde entier, en Allemagne, on propageait ces mêmes doctrines qui attisaient le feu de la haine contre Jésus-Christ.
    Voici comment s’exprimait à l’endroit de Notre-Seigneur et Maître adoré, Adam Weishaupt, fondateur de l’Illuminisme allemand :
    «Quand nous vous demandions, par exemple, disait-il, à ses adeptes, si les religions des peuples remplissaient le but pour lequel les hommes les ont adoptées ; si la religion pure et simple du Christ était celle que professent aujourd’hui les différentes sectes, nous savions assez à quoi nous en tenir ; mais il fallait savoir à quel point nous avions réussi à faire germer en vous nos sentiments. Nous avons eu à détruire chez vous bien des préjugés, avant de vous persuader que cette prétendue religion du Christ n’était que l’ouvrage des prêtres, et de l’imposture et de la tyrannie. S’il en est ainsi de cet Évangile, tant proclamé, tant admiré, que devons-nous penser de toutes les autres religions ? Apprenez donc qu’elles ont toutes les mêmes fictions pour origine ; qu’elles sont également toutes fondées sur le mensonge, l’erreur, la chimère et l’imposture. Voilà notre secret».
    Il n’est pas étonnant qu’un pays qui a bu, pendant un siècle, comme l’Allemagne, pareille doctrine, ait produit des hommes comme Strauss, et des vies de Jésus comme celle que cet auteur a écrite, et que M. Renan a poétisée, en sachant cependant y cacher le poison du panthéisme, à chaque page, à chaque phrase, sous les nuances et les cou-leurs orientales de son style, qu’il eût mieux fait de mettre au service de la vérité. On comprend que l’Allemagne, ainsi nourrie d’erreur et de sophismes, se trouve plongée deux fois dans une atmosphère nébuleuse, et qu’elle soit con-damnée à chercher sa route sans pouvoir la trouver. Pour la trouver, il faut aller à Canossa, et cela fatigue bien plus encore la philosophie allemande que sa politique.
    En résumé, l’illuminisme de Weishaupt est antichrétien, parce qu’il est panthéiste et matérialiste.
    Et ne croyons pas que cet homme se soit contenté d’être antichrétien en théorie, nul mieux que lui n’a su allier la pratique à une doctrine erronée. Dans les conseils qu’il a écrits de sa main, pour le grade maçonnique d’Epopte ou prêtre, il dit à l’adepte : «Vous devez sans cesse former de nouveaux plans, afin de voir comment on peut, dans nos provinces, s’emparer de l’éducation publique, du gouvernement ecclésiastique, des chaires d’enseignement et de prédication». Ailleurs, il dit que si un Frère, parvient à fermer une école que nous appellerions, en France congréganiste, il aura bien mérité de l’Illuminisme tout entier, surtout s’il arrive à faire servir les biens de la dite école au profit de la cause qu’il sert.
    Il y a un siècle que ces conseils étaient donnés, et, de nos jours, on ne les a pas encore oubliés. Nous le savons, en partie, en attendant qu’on nous apprenne le reste.
    Weishaupt, le plus fameux conspirateur qui ait paru, dit M. Louis Blanc, avait été à bonne école pour se former de la sorte. Outre Spinosa, comme docteur, il avait pour le guider les écrits de Jean-Jacques Rousseau, de Voltaire et de tous les philosophes français du dix-huitième siècle, renforcés de Frédéric II, roi de Prusse.
    Voltaire ! N’est-ce pas l’incarnation de la haine, de la haine dans ce qu’elle eut jamais de plus enfiellé, de plus mordant, de plus puissant ? Eh bien, cette haine de Voltaire avait surtout pour objet Jésus-Christ. C’est à Jésus-Christ qu’il s’attaquait, en tout et partout, lui, le libre-penseur, lui, le Maçon. Car il avait été reçu Libre-penseur en Angleterre vers 1725, et Maçon en France, à son retour. Voltaire est un franc-maçon digne de ce nom et de la société maçonnique. Les frères et amis, en France et en Italie, l’ont pris pour modèle et lui ont élevé des statues ; ils l’ont loué, acclamé, élevé jusqu’aux astres, et il méritait tous ces honneurs aux yeux de la secte, parce qu’il surpassait tous les philosophes de son temps, tous Maçons, non seulement par son talent, mais surtout par sa haine contre Jésus-Christ.
    Voici comment en parle Barruel : «Les services de Voltaire furent constamment ceux d’un homme qui a tous les talents des sophistes et des littérateurs ensemble ; qui les consacre tous à sa guerre contre le Christ. Pendant les vingt-cinq dernières années de sa vie, il n’eut point d’autre objet. Il le disait lui-même : ce qui m’intéresse, c’est l’avilissement de l’infâme, c’est-à-dire du Christianisme. Cette haine de Jésus-Christ et de Sa Religion, il la soufflait sans cesse aux conjurés. Il écrivait à l’un : «Engagez tous les frères à poursuivre l’infâme de vive voix et par écrit, sans lui donner un moment de relâche» ; il mandait à l’autre : «Faites tant que vous pourrez les plus sages efforts pour écraser l’infâme» ; à d’autres encore : «On oublie que la principale occupation doit être d’écraser le monstre» ; et dans sa bouche, le monstre, comme l’infâme, était toujours Jésus-Christ et Sa Religion.
    La haine avait pénétré Voltaire jusqu’à la mœlle des os, c’était la haine incarnée contre le Christ. Il en était arrivé à signer ses lettres : Christmoque (je me moque du Christ ) pour que chacune de ses paroles, jusqu’à la dernière, fût un blasphème.
    Et c’est à cet homme, à ce blasphémateur du Christ, qui n’eut d’émule en blasphème contre le Fils de Dieu que dans l’enfer, c’est à lui que la Maçonnerie éleva, en 1870, une statue à Paris, avec l’approbation expresse du gouvernement de Napoléon III, et dont elle a célébré solennellement le centenaire en 1878, comme pour établir à la face du monde l’identité de leurs doctrines et de leurs mœurs». (Sociétés secrètes, du R. P. Deschamps).
    Pourquoi donc Voltaire est-il tant acclamé, tandis que Weishaupt, vrai fondateur de la maçonnerie-Illuminée, n’est pas même nommé par les maçons ?
    Disons-le en passant, pour rendre gloire à la miséricorde infinie de Dieu et de son Christ : « Adam Weishaupt, sur la fin de sa vie, reconnut et abandonna ses errements ; il voulut réparer ses fautes par la fondation d’une mission ou église catholique à Gotha, et rnourut, en 1822, réconcilié avec l’Eglise depuis plusieurs années ». (Cours d’histoire ecclésiastique, par M. l’abbé Rivaux, vol. III, page 239. Voir Rohrbacher et les Études religieuses et historiques, n° 39, mars 1866, et le Monde, 4 août 1867).
    Weishaupt converti ! Weishaupt travaillant à édifier une église catholique. Quel prodige de grâce ! Voltaire ne s’est pas confessé : voilà, ce qui permet de lui élever une statue en France.

    Croisade Réparatrice des Francs-Catholiques par Mgr Fava, 1881.

  3. Article pertinent et très instructif sur le plan historique.

    On retrouve la pensée néo-Templière qui veut détruire l’auctoritas et le potestas sous toutes leurs formes, tant les souverains que les églises.

    A ses yeux, seul un gouvernement mondial peut, après une série de cataclysmes, amener l’humanité toute entière à la félicité. Il faut pour cela précipiter dans le chaos les deux grandes puissances européennes que sont l’Angleterre et la France.

    La France a déjà perdu sa Maison Royale et sa foi Catholique. Le laïcisme n’est que le cheval de Troie de l’islamisme, qui lui propose une religion mondialisante, l’islam ne regardant ni à la race, ni à la classe.

    L’Angleterre a perdu la foi Catholique avec les guerre Jacobite au XVII° siècle et sa maison Royale n’est plus que l’ombre d’elle, croulant sous les scandales. Après le miracle Elisabeth II, qui « Gradienne » de l’Ordre du Temple, c’est toute la Monarchie qui risque de s’en aller. La charia est bien implantèe dans le code judiciare britanique…

    Mais le Divin-Christ Roi règnera malgrès ses ennemis, envoyant Son Lieutenant sauver Son Vicaire, la France et la Chrétienté. LE ROI ET LE PAPE SONT LES DEUX OINTS DU SEIGNEUR (Zacharie 4:1-14) qui devront stopper ENSEMBLE l’Antéchrist et reconstruire l’Eglise de Dieu (Zacharie 6:12-13) et préparer Son retour.

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